Trouver une voiture n’est pas forcément la tâche la plus facile à accomplir. A côté des différents paramètres qu’il faut prendre en compte dans leurs choix vient la problématique du lieu où l’on peut acquérir celle qui correspond à notre demande. Si encore il suffisait seulement de faire des comparaisons entre les différents prix proposés par les multiples concessionnaires auto disponibles près de chez nous, l’on dira que la difficulté n’est pas aussi importante. Mais il se trouve que l’on doive parfois recourir à des démarches d’importation et ceci dans le cas où le véhicule en question ne se trouve pas directement disponible au sein d’un parc automobile en particulier. Dans ces conditions, il est plus qu’indispensables de connaitre les formalités qui sous-tendent cette acte d’importation qui ne sont pas forcément rebutant si on a dans la bonne idée de penser aux solutions proposées par Verbaere auto.
Les premières étapes : petites annonces ou service d’un courtier
La première chose à faire dans une démarche d’importation consiste évidemment à localiser et identifier l’endroit où le véhicule que l’on recherche est disponible. C’est dans cet optique que l’on se lance soit dans la consultation des petites annonces soit dans la prise de contact avec un courtier. Bien qu’importer une voiture de l’étranger puisse être vue comme une opération en principe plus complexe que le fait de trouver sa voiture dans les limites territoriales de son pays, il constitue parfois une belle opportunité car les parcs automobiles étrangers sont généralement plus riches et plus fournis en modèles de véhicules surtout d’occasion. Si une démarche personnelle vous décourage, obtenir un conseil voire une assistance auprès de votre concessionnaire Verbaere auto ne serait pas une mauvaise idée et serait même vivement recommandée.
A quoi s’attendre pour les coûts ?
Etant donné une éventuelle plus importante stock disponible, les prix des véhicules localisés à l’étranger peuvent être largement plus intéressants par rapport à ceux que l’on peut se voir proposer dans la proximité. Cela peut d’ailleurs être à l’origine de notre choix d’opter pour l’importation. Toutefois, l’on peut se demander si considération faites des frais occasionnés par l’importation, cela ne reviendrait pas au même voire plus chère. Pour commencer, il faut préciser qu’en ce qui concerne un véhicule importé en provenance d’un pays relevant de l’Union Européenne, non seulement les frais de douane sont inexistants mais en plus les démarches sont simplifiées. Dans ce cas de figure, c’est d’un quitus fiscal délivré par notre centre fiscal qui sera requis pour pouvoir obtenir ensuite le numéro d’immatriculation de son véhicule. Dans le cas contraire, il faut s’attendre au fait que les frais de douane pourront s’élever en moyenne à 10% du prix hors taxe de la voiture. A nous donc de faire le calcul pour voir si cette démarche s’avère au final plus avantageux en terme de coût.
Les autres points à régler après les formalités douanières
Les formalités douanières conditionnant comme nous l’avons dit l’attribution d’une immatriculation, cette démarche correspond à celle qui résulte d’une demande d’immatriculation adressée à l’Agence Nationale des Titres Sécurisées. Il vous sera alors exigé un certain nombre de pièces en vue de compléter votre dossier de demande. Votre mandataire pourra vous donner de plus amples renseignements sur les différents composants du dossier et où se les procurer ou vous pouvez par vos propres moyens en prendre connaissance via le site de l’ANTS susmentionnée. Bien que les formalités puissent être vues comme relativement simples, importer un véhicule de l’étranger n’est pas sans risque. Des arnaques concernant l’état des véhicules ont souvent été détectées et des sites internet à caractère frauduleux continuent de faire des victimes sur les réseaux.